« A Tours (Indre-et-Loire), plus de la moitié des familles d’enfants de primaire qui déjeunent à la cantine ont même vu leur facture baisser. Le tarif unique à 3,35 euros à disparu, pour laisser place à une tarification progressive (entre 2,50 euros et 4,90 euros) en fonction du revenu des parents. Le projet, planifié avant la crise, tombe à pic pour les familles modestes : « Au vu de l’inflation, on avait justement besoin de plus de justice sociale », se réjouit le maire EELV, Emmanuel Denis. »